Avec l'après-midi qu'on a passé ensuite je vais avoir de quoi écrire un bout de temps ... Mon jour de la semaine préféré ? Le Mercredi !
Deutsche Klasse (Bis)
Mon coeur était en hiver,
Aujourd’hui c’est le printemps,
Cela ne date que d’hier,
Pourtant on croirait plus longtemps.
La courbe de tes yeux,
Fait le tour de mon coeur,
J’appelle de mes voeux,
Un torrent de fleurs.
Ce sera tellement mieux,
Qu’un torrent de pleurs,
Nous ne sommes pas vieux,
Oublions nos peurs.
Et sans plus hésiter,
Nous pourrons plonger,
Dans le bonheur sucré,
Des sentiments partagés.
Sans cesse mon coeur grandi,
Sa taille serait-elle infinie ?
J’en prendrait le pari,
Un pari sur toute la vie.
May Your Will Be Done In Earth As In Heaven
J’ai crié vers le ciel,
Me sentant trahi,
J’ai crié vers le ciel,
Me pensant maudit.
Ma vie semblait vide,
Je la voyait finir,
A la façon du Cid,
Je me voyait périr.
Seul le coeur glacé,
Dans un corps tordu,
Par la vie blessé,
De moi même imbu.
Et voila que le Ciel,
Après tant d’attente,
A entendu mon appel,
Voila qu’elle me hante.
Depuis bien longtemps,
Mes larmes ont séché,
Mais mes dernières plaies,
A peines cicatrisés.
Je les pensait refermées,
Tu les as rouvertes,
Et j’ai accepté,
De d’ouvrir ma tête.
A peine t’avais-je revu,
Que ces derniers vestiges,
On tous disparus,
Je n’ai plus de peine.
Je croyais n’avoir,
A t’offrir que des larmes,
Et de ne pas pouvoir,
Succomber a tes charmes.
Mais ton rire m’a rappelé,
Que le bonheur existait,
Entre deux regards gênés,
Quand on s’aimaient.
Si je survivait,
J’avais oublié,
Ce que signifiait,
Le verbe Aimer.
Tel que tu me voit,
Tu me l’as appris,
Car pour toi,
De zéro je suis parti.
Tu me garde mon amour,
Dans ce maudit travers,
De retomber un jour,
Celui du coeur de pierre.
Ce coeur tu l’a renouvelé,
La gangue de pierre a éclaté,
Il peut maintenant respirer,
Mais peut aussi saigner.
Puisse t-il ne jamais le faire,
Car jamais je ne veut,
Revivre cet horrible enfer,
Qu’est la vie sans tes yeux.
Je te donne sans hésiter,
Les clefs de mon coeur tout entier,
Jamais, je peut le jurer,
Je ne cesserait de t’aimer.
Et voila comment du Ciel,
Me tombe un joli rayon,
Un petit rayon de miel,
Me touchant dans mes tréfonds.
Je t’aime tout simplement,
Chaque seconde plus qu’avant,
Sur n’importe quel banc,
Ou même sur ton divan.
Tu est l’air que je respire,
Si clair et si évanescent,
Qu’a en mourir j’inspire,
Ce parfum dément.
Le deuxième est plutôt fort je trouve ... L'anticipation de la voir a donné des ailes a ma plume ... et quand je l'ai vu j'ai tutoyé les anges ...
Mon coeur était en hiver,
Aujourd’hui c’est le printemps,
Cela ne date que d’hier,
Pourtant on croirait plus longtemps.
La courbe de tes yeux,
Fait le tour de mon coeur,
J’appelle de mes voeux,
Un torrent de fleurs.
Ce sera tellement mieux,
Qu’un torrent de pleurs,
Nous ne sommes pas vieux,
Oublions nos peurs.
Et sans plus hésiter,
Nous pourrons plonger,
Dans le bonheur sucré,
Des sentiments partagés.
Sans cesse mon coeur grandi,
Sa taille serait-elle infinie ?
J’en prendrait le pari,
Un pari sur toute la vie.
May Your Will Be Done In Earth As In Heaven
J’ai crié vers le ciel,
Me sentant trahi,
J’ai crié vers le ciel,
Me pensant maudit.
Ma vie semblait vide,
Je la voyait finir,
A la façon du Cid,
Je me voyait périr.
Seul le coeur glacé,
Dans un corps tordu,
Par la vie blessé,
De moi même imbu.
Et voila que le Ciel,
Après tant d’attente,
A entendu mon appel,
Voila qu’elle me hante.
Depuis bien longtemps,
Mes larmes ont séché,
Mais mes dernières plaies,
A peines cicatrisés.
Je les pensait refermées,
Tu les as rouvertes,
Et j’ai accepté,
De d’ouvrir ma tête.
A peine t’avais-je revu,
Que ces derniers vestiges,
On tous disparus,
Je n’ai plus de peine.
Je croyais n’avoir,
A t’offrir que des larmes,
Et de ne pas pouvoir,
Succomber a tes charmes.
Mais ton rire m’a rappelé,
Que le bonheur existait,
Entre deux regards gênés,
Quand on s’aimaient.
Si je survivait,
J’avais oublié,
Ce que signifiait,
Le verbe Aimer.
Tel que tu me voit,
Tu me l’as appris,
Car pour toi,
De zéro je suis parti.
Tu me garde mon amour,
Dans ce maudit travers,
De retomber un jour,
Celui du coeur de pierre.
Ce coeur tu l’a renouvelé,
La gangue de pierre a éclaté,
Il peut maintenant respirer,
Mais peut aussi saigner.
Puisse t-il ne jamais le faire,
Car jamais je ne veut,
Revivre cet horrible enfer,
Qu’est la vie sans tes yeux.
Je te donne sans hésiter,
Les clefs de mon coeur tout entier,
Jamais, je peut le jurer,
Je ne cesserait de t’aimer.
Et voila comment du Ciel,
Me tombe un joli rayon,
Un petit rayon de miel,
Me touchant dans mes tréfonds.
Je t’aime tout simplement,
Chaque seconde plus qu’avant,
Sur n’importe quel banc,
Ou même sur ton divan.
Tu est l’air que je respire,
Si clair et si évanescent,
Qu’a en mourir j’inspire,
Ce parfum dément.